CinéCinéphile

Quelques mots, sur ces œuvres que nous découvrons depuis le Québec ou la France, sur notre écran d'ordinateur ou dans notre salle de cinéma favorite.

[Top & Flop France] : Pour être champion du box-office en avril, il fallait savoir appuyer sur le champignon !

Bonjour à toutes et à tous !

Cela fait donc un mois que je vous ai proposé de ne pas vous « découvrir d’un film »… et vous m’avez écouté avec sagesse pour la fin du mois. En effet, ce mois d’avril est en demi-teinte au niveau général des entrées sur le mois écoulé. Bien entendu, vous le lirez et le verrez, un film a été un merveilleux moteur (et pourtant c’est un (Vin) Diesel – blague déposée) pour le box-office, j’irai même jusqu’à dire qu’il a été un accélérateur.

Et pourtant FF7 est l’arbre qui cache la forêt. Depuis le 1er janvier 2015, le cinéma français a enregistré précisément 69 111 752 entrées : « Whouah !!! » me crieriez-vous ! Et vous auriez en partie raison… cependant, c’est 348 733 billets non-vendus par rapport à 2014… soit 1% pile d’entrées en moins. Oui, ce n’est qu’1% mais sur une année, cela peut faire retomber le soufflet de février-mars. Pourquoi une baisse quand on sait que mai n’est pas forcément favorable aux entrées en salles (le Festival de cannes suspend quelque peu les sorties en salles en France et le temps est parfois meilleur) ?

Les raisons sont multiples : bien entendu avril fut plus agréable qu’à l’accoutumée mais surtout les films « locomotives » n’ont pas du tout assuré en salles si on excepte la bande de Vin Diesel. Donc je ne suis pas joie finalement en ce début mai et je suis plutôt chagrin ! Oui, j’aime vous faire partager mes humeurs (un peu comme dans Vice-Versa qui sera présenté hors compétition à Cannes : vivement !). Et ainsi, je vous garde les 29 et 30 avril pour les ajouter à la récap de mai… histoire de rester dans l’optimisme. Entrons dans l’analyse plus fine où vous découvrirez que les Tops d’avril ne sont que trois !

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Top-Flop-Un-Homme-Idéal

  • On commence bien entendu avec Cendrillon qui avait clôt notre Top & Flop du mois dernier. Avec 1 480 547 spectateurs conquis et ayant encore envie de croire aux contes de fées, Kenneth Branagh a lavé l’affront de l’insuccès des nouvelles aventures de Jack Ryan. La nouvelle adaptation live d’un Disney est un beau succès, certes ce sera moins que Maléfique qui avait terminé sa carrière à 2 046 776 entrées, mais cela n’empêchera la suite des mises en chantier d’autres dessins animés en version live. Dans les tuyaux : le Livre de la jungle, Pinocchio, Mulan et même Winnie l’Ourson. Tant que l’on ne frôle pas l’indigestion, Disney continuera de feuilleter son catalogue… un peu comme Marvel finalement. Hollywood pourra-t-elle se relever si une de ses adaptations échouent au box-office ? Réponse avec Ant-Man cet été.

  • Toujours dans les franchises, Divergente 2 : l’insurrection terminera sa carrière à 2,5 millions de spectateurs en France. Véritable succès bien supérieur au premier volet de plus d’1 million de billets vendus. C’est donc certain : le dernier volet sera adapté en deux parties, histoire de bénéficier du succès d’Hunger games.
  • Auréolé de son César du meilleur acteur, Pierre Niney aura permis au film de Yann Gozlan d’atteindre pratiquement les 700 000 entrées pour une histoire exigeante mais dont le scénario ne tient pas toujours toutes ses promesses. En tout cas, un homme idéal est suffisamment bien positionné pour prétendre se retrouver aux Césars en février 2016 et permettre surtout à Ana Girardot d’obtenir enfin une mise en lumière qu’elle mérite.
  • Et on conclut avec Voyage en Chine, le premier long-métrage du photographe Zoltán Mayer, mettant en scène Yolande Moreau a attiré 150 000 curieux. Certes, cela peut sembler peu mais mis en parallèle avec son budget, le film est un succès total ! Encore une fois, les Césars devraient ne pas l’oublier en février 2016, permettant sans doute à Yolande Moreau d’obtenir là sa troisième récompense. Si vous n’avez pas encore pris le temps de découvrir ce voyage initiatique à la recherche du fils disparu, je vous encourage à le faire le plus rapidement possible car le film est encore dans quelque salles pour les deux semaines à venir.

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Top-Flop-Taxi-Téhéran

Qui aurait pu prévoir qu’il ne serait que trois ?! Oui trois, vous vous rendrez compte que la rubrique suivante, les films du milieu, ces sorties ne peuvent prétendre à basculer dans la première catégorie. Donc oui, les mois d’avril sont meurtriers finalement (comme l’écrivait Robin Cook) pour le cinéma en France.

  • Meilleur démarrage de l’année (pour le moment) : 2 158 508 spectateurs en une semaine, troisième meilleur démarrage sur Paris et une tenue exemplaire (trois semaines en tête du box-office) : Fast and Furious 7 de James Wan a rempli son cahier des charges à merveille. Bien entendu, on peut se poser la question si la disparition de Paul Walker n’a pas un peu gonflé les entrées (?) mais la base des fans est là et bien présente cependant. Aussi, même si certains spectateurs sont sans doute allés voir le film pour découvrir l’hommage au jeune acteur, Vin Diesel peut se féliciter de ce nouveau succès. Il s’en félicite tellement qu’il demande un Oscar et que Dame Helen Mirren souhaite participer au prochain volet ! La franchise continuera de rouler…

  • Grosse surprise : Taxi Téhéran de Jafar Panahi ! Avec 278 386 entrées en deux semaines, le film est un carton complet. Tourné en caméra caché, il permet au réalisateur interdit de sortie du territoire iranien, de montrer son pays tel qu’il est : entre témoignages, moments drôles et cocasses et véritable déclaration d’amour à son pays malgré tout, Taxi Téhéran a touché le cœur des Français. Succès complet qui lui permet de se retrouver dans cette rubrique des Tops d’avril… et en se projetant un peu, le film peut même envisager de chatouiller les 400 000 tickets vendus voire les 500 000. Ce serait là une véritable surprise qui pourrait peut être permettre une évolution du statut de Jafar Panahi dans son pays. Et si le cinéma servait aussi à redonner la liberté ?
  • On conclut avec le meilleur démarrage de l’année sur Paris (pour le moment, en attendant Star Wars 7 ou le nouveau Bond) : 6 586 entrées et troisième meilleur démarrage France de l’année : 1 926 049 spectateurs ont découvert les nouvelles aventures des Avengers : l’ère d’Ultron (soit 115 313 fans de moins que pour le premier volet). Donc les 2 millions ne sont pas atteints en première semaine mais les 4 millions sont plus qu’envisageables en fin de parcours, pour faire de ces nouvelles aventures des héros de Marvel, le carton de l’année pour ce premier semestre (sauf explosion totale du Mad Max : Fury road) balayant FF7 et monsieur Grey (après tout il aime quand on lui fait mal). Succès mais léger essoufflement français qui devrait permettre une petite réflexion de la part de Marvel car sans chauvinisme aucun, nous sommes une terre d’accueil pour les super héros qui est parfois à double tranchant (on se souvient de l’insuccès chez nous du Batman et Robin qui avait poussé Hollywood à remettre en question les aventures de l’homme chauve-souris). Aussi, Ant-Man devra véritablement être un hit surprise comme le furent les gardiens de la galaxie l’année dernière.
Avengers 2

© The Walt Disney Company France

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Top-Flop-Caprice

Bien entendu, nous allons revenir sur le premier film de Jamel Debbouze mais cet intertitre est valable pour tous les films évoqués dans un instant…

  • En route ! avec cette injonction, les chères têtes blondes auraient dû avoir envie de suivre Oh, le gentil mais complètement maladroit Boovs lors de ses aventures sur Terre… et pourtant, ce n’est pas le cas. Après le succès de Dragons 2, Dreamworks n’affiche pas une belle santé avec seulement 607 442 spectateurs conquis en deux semaines. Certes les vacances vont lui permettre d’atteindre le million mais en route ! pouvait espérer bien mieux… le beau temps explique ce phénomène mais pour autant, cela n’est pas la seule raison à cette légère infortune. Sans doute que l’histoire un peu répétitive à entraîner ce léger désamour… pourtant, c’est le film d’animation idéal pour toute la famille. Maintenant en regardant de plus près, même la Fée Clochette s’est plantée au b-o alors qu’elle avait atteint le million l’année dernière quand elle affrontait la fée pirate, cette année, la créature légendaire a effrayé les plus jeunes car à peine 500 000 tickets ont été vendus.
Shaun le mouton

© StudioCanal

  • Même topo pour Shaun le mouton : 413 760 entrées en quatre semaines, soit bien en-deçà des scores de Wallace et Gromit ou encore de Chicken run… et pourtant, l’humour est omniprésent, l’absence de dialogue permet à ce que tout le monde comprenne l’histoire sans souci. Et pourtant… pourtant, ce n’est pas une réussite… c’est certes mieux que Souris City mais pas assez pour le studio Aardman (qui s’expose en ce moment à Paris) qui misait gros avec son héros bien connu des plus petits. La raison est aussi liée à cette extrême connaissance de Shaun : pourquoi aller voir en salles ce que je peux découvrir chez moi en série télé ? A l’opposé de Wallace et Gromit qui n’ont connu que quelques histoires télévisuelles, Shaun est un habitué du petit écran… voilà sans doute la meilleure explication à cette place au milieu du box-office.
  • Et maintenant une série de films français : Olivier Baroux peut se rassurer car Entre Amis cumule 301 214 spectateurs en une semaine soit 100 000 de plus que On a marché sur Bangkok. Mais très en-dessous des performances de ses derniers films tel que L’italien, Safari ou les Tuche… Ici, la raison est évidente : le scénario vu et revu avec pourtant un casting au top mais sous-exploité… et avec l’arrivée en salles de nos femmes, on peut supposer que ce sera raté pour se maintenir en deuxième semaine. A côté de cela, Emmanuel Mouret rate également son retour : Caprice fait certes mieux qu’une autre vie qui n’avait attiré que 42 000 personnes mais c’est bien inférieur à Changement d’adresse, un baiser s’il vous plait ou même Fais-moi plaisir… le charme est rompu sans doute et il va falloir beaucoup de magie pour que les spectateurs reviennent découvrir ses films. Et on conclut avec En équilibre de Denis Dercourt : en revenant au drame moins psychologique porté par un casting impeccable (Cécile de France et Albert Dupontel), il tutoie pratiquement les 300 000 spectateurs conquis en salles… bien mieux que demain dès l’aube donc… Denis Dercourt peut envisager le succès de la tourneuse de pages désormais, à savoir les 700 000 spectateurs.

  • Il nous reste le cas Jamel… sans vouloir être méchant parce que la personne s’est donnée au maximum pour la promo du film, parce qu’il est attachant et parce qu’il a pris des risques, la semaine de sorties n’a pas été du tout à la hauteur des espérances portées par le film. Les premières avants-premières n’ont pas été une réussite, les critiques ont préféré boudé le film. Pourquoi ? Sans doute parce qu’en y mettant tout son cœur, Jamel a oublié par moment son scénario en route et est resté bloqué sur des blagues qui ne sont pas toujours du meilleur effet… pourtant ce n’est pas un échec (ou alors j’aimerai réaliser un film qui connaît cet échec-là) : 1 584 165 spectateurs en deux semaines, il se maintient très bien et devrait bénéficier à plein des vacances scolaires et des jours fériés. Aussi, même si Pourquoi j’ai pas mangé mon père ? n’atteindra pas les 5 millions rêvées : les 3,5 millions sont envisageables et lui permettrait de rentrer un peu dans ses frais et surtout lui ouvrir les portes d’une carrière internationale. Et ce serait alors surtout un succès pour la technologie « motion capture » à la française qui ferait pour une fois la nique aux Américains. Maintenant, le sort du film est entre les mains des spectateurs… et sans être le succès attendu, ce n’en est pas moins un joli défi relevé par Jamel qui lui permet d’envisager sereinement l’avenir.

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Top-Flop-Lost-River

Par où commencer ? Il y a des plantages mérités (certes ce n’est pas gentil de dire cela dans la mesure où sur un film, il y a toujours au moins une personne qui s’est cassée la tête pour que tout se passe bien) et des films qui n’ont pas su trouver leur public où  » la faute à pas de chance » (comme l’aurait dit ma grand-mère).

Les rejets non mérités :

  • Enfant 44 : sur le papier, l’adaptation du roman de Tom Rob Smith par Daniel Espinosa avait tout pour plaire au public. Succès en librairie, casting quatre étoiles (Tom Hardy, désormais indispensable, Noomi Rapace, Gary Oldman, Jason Clarke, Vincent Cassel, Charles Dance), une réalisation soignée, une photographie impeccable et une version originale impeccable… malheureusement, la contre-programmation en avril a été une erreur fatale ! Enfant 44 est ce que l’on appelle un film d’octobre (une sortie en milieu de mois pour le pousser jusqu’à la Toussaint où il fait le plein avec le 1er novembre). Seuls 95 000 spectateurs en salles en deux semaines ! Échec total immérité…

  • Cerise de Jérôme Enrico avait l’avantage de présenter à l’écran Zoé Adjani, nièce de… mais malheureusement le succès surprise de Paulette ne sera pas renouvelé et 63 719 billets auront seulement été vendus. C’est dommage car cette comédie était à la fois drôle et touchante. Et aussi, Le Journal d’une femme de chambre connaissait sa troisième adaptation par un réalisateur qui connaît les films en costumes et livre toujours sa propre musique pour en faire une œuvre personnelle. Cependant Benoît Jacquot, même s’il emmène de nouveau Léa Seydoux (comme dans les adieux à la reine : près de 550 000 entrées), il ne réussit pas à égaler le score de Trois cœurs. Et c’est un plantage non mérité pour une histoire forte qui a des résonances particulières dans notre société actuelle avec à peine 259 868 entrées.

Journal d'une femme de chambre

  • Ryan Gosling aura divisé à Cannes en mai dernier quand il aura présenté son premier film. Est-ce qu’il méritait autant de buzz ? Est-ce que c’est vraiment mauvais ? Est-ce une œuvre inaccessible car trop référencée ? Un peu de tout cela… si la lenteur de la narration permet de s’attacher aux personnages (Christina Hendricks, Saoirse Roiran et la révélation Ian de Caestecker), si le soin apporté à l’image, aux décors sont juste impeccables, le film a trop de référence pour un œil non averti et exercé (Nicolas Winding Refn, Kubrick…) : loin de moi l’idée de dire que celles et ceux qui n’ont pas accroché sont idiots mais il est clair que si l’on ne se lance pas dans cette expérience de cinéma avec une envie de réfléchir alors, on est noyé comme la cité engloutie présentée dans le film. Et de fait seuls 130 499 personnes ont tenté de remonter la Lost River de Ryan… pas mal pour un premier film mais peu par rapport à l’aura de l’acteur-réalisateur.

Les plantages dans les belles longueurs :

  • Suite française : adapter le livre inachevé d’Irène Némirovsky était une gageure que n’a pas su relever Saul Dibb. Le casting est pourtant impeccable : Kristin Scott-Thomas, Michelle Williams, Matthias Schoenaerts et Lambert Wilson mais pourtant, il aurait fallu que cela soit tourné en version française et non anglaise pour garder le réalisme qui manque cruellement au film.
  • Charlize Theron a quelques difficultés avec ses derniers films : Albert à l’ouest, Prometheus et Young adult n’ont pas été des succès… heureusement il y eut Blanche-Neige et le chausseur. Mais cette fois en adaptant Gillian Flynn, auteure des apparences devenues Gone Girl, Gilles Paquet-Brenner plante un peu l’histoire hésitant entre des flashbacks à répétition et une histoire qui fait du surplace… Et la sanction tombe sévèrement : à peine 100 000 entrées en trois semaines.
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© Mars Distribution

  • Et doit-on vraiment en parler ? Deux comédies françaises au potentiel énormes ont raté leur sortie et leur rencontre avec le public ! Max Boublil ne réitèrera pas le succès des gamins de 2014 avec sa véritable histoire de Robin des Bois : 381 055 tickets vendus seulement en deux semaines. Pourquoi ? Parce que tout n’est pas drôle, parce que la bande-annonce laissait espérer de l’humour toutes les secondes mais elle délivrait déjà le meilleur du film : enfin meilleur… Dommage ! Et dommage aussi pour Manu Payet qui rate de nouveau le coche. Pourtant en l’associant avec Joey Starr, l’idée de génie était là mais ces Gorilles manquent singulièrement de muscles et d’allant pour réunir tout le monde en salles. Et ça fait très mal : à peine 100 234 entrées en une semaine ! Face au talent des comédiens et à leur abattage, la claque n’en est que plus forte… maintenant, c’est aussi un peu mérité. Le public a sans doute envie de qualité et ne s’est pas trompé cette fois-ci face à l’offre proposé… et dire qu’il y a un : Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? était un véritable carton !

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Top-Flop-Mad-Max-Fury-Road

Bien entendu, le mois de mai est le mois du plus grand Festival du monde… que dis-je de l’univers ! Et dans les salles, ce sera un peu plus calme car les sorties seront plus mesurées laissant de fait le champ libre à George Miller et le retour de Mad Max dont les premiers échos sont juste incroyables !

Sinon, on ne va pas bouder son plaisir mais avec Cannes, c’est aussi le moment du cinéma d’auteur : la tête haute présentée en ouverture du 68ème Festival sera sur les écrans le soir même de sa présentation, soit le 13 mai. Ce sera également le cas avec La loi du marché de Stéphane Brizé (présenté le 19 mai) ou encore du nouvel Arnaud Desplechin : 3 souvenirs de ma jeunesse (le 20).

Il y aura du blockbuster dans l’air avec Tomorrowland (la dernière production Disney qui ne devra pas se louper), la rencontre du voisin trop parfait de J-Lo (hit aux USA mais critiques assassines partout où il passe) et les premières réalisations de Clovis Cornillac et Alex Lutz pour des comédies douces-amères, loin des pochades d’avril ? On l’espère !

BOX-OFFICE FRANCE (AU 2 MAI)

RANG TITRE NOMBRE D’ENTRÉES
1 Cinquante nuances de Grey 4 043 235
2 Fast and Furious 7* 3 975 830
3 American Sniper* 3 092 373
4 Papa ou maman 2 8049 976
5 Taken 3 2 614 008
6 Divergente 2 : l’insurrection* 2 250 237
7 Avengers : l’ère d’Ultron* 1 926 049
8 Kingsman : Services secrets 1 647 186
9 Les nouveaux héros 1 618 400
10 Pourquoi j’ai pas mangé mon père ?* 1 584 165

* film encore en continuation

Sources : http://www.jpbox-office.com/index.php

LA CONCLUSION DU MOIS

Vous l’aurez donc compris : avril fut un peu chagrin malgré un générique des plus appétissants (Ryan Gosling, Shaun le mouton, les Avengers, FF7, Max Boublil, Charlize Theron, Jamel…). Si le beau temps aura permis de sortir et de profiter pleinement du soleil, les salles ont de fait connu une baisse de fréquentation à peine compensée par le succès de FF7. En appuyant donc sur le champignon, ou en passant la septième pour être plus précis, les belles carrosseries auront montré qu’elles en avaient encore sous le capot… à tel point que la franchise Fast and Furious laissera une empreinte dans l’histoire du cinéma.

Bien entendu, les Avengers auront réussi leur sortie et su faire parler d’eux mais à part cela, on ne retiendra pas grand chose des sorties d’avril tant les plantages auront été nombreux.

Alors comment conclure sur une note d’optimisme ? En vous laissant avec les paillettes cannoises et une sélection des plus alléchantes (tant en que hors compétition) dont vous retrouverez le détail ici.

On se retrouve début juin pour faire le point et d’ici là, profitez des salles obscures pour vous rafraichir ou vous protéger du soleil (je ne suis pas Monsieur Météo donc je ne prends aucun risque) et vous en mettre plein les mirettes : Enjoy !

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